Les brasseries de l'Amandinois

5. La Brasserie  Amandinoise :  Rue du 2 Sept 1944 (ex Rue du Faubourg d'Orchies)

En Mars 1850 , François Caudoux propriétaire , Louis Lecomte marchand de grains , Augustin Doutriaux  propriétaire , Joseph Dusart Cuvelier (1815-    ) marchand , Charles Blondeau  propriétaire , Florent Berquin (1789-    ) fondent une société sous le nom de Brasserie de L'Union , Dutriaux , Caudoux & Cie (Source : L'Echo de La Frontière du 04/04/1850) . En Février 1851 ,elle devient ensuite  Brasserie de L'Union , Flescher , Berquin & Cie  et est  gérée par Edmond Flescher (Source : Le Courrier du Nord du 14/02/1851) . En Septembre 1853 , Charles Blondeau remplace Edmond Flescher , la brasserie  devient Brasserie de L'Union , Blondeau , Berquin & Cie , et est gérée par Charles Blondeau (Source : L'Echo de La Frontière du 1/10/1853) . En Janvier 1854, la brasserie est dissoute et les murs sont mis en vente en Février 1854 . En Février 1854 , elle est relancée par Charles Blondeau et Florent Berquin , et apparaît sous le nom de Brasserie Amandinoise , Blondeau , Berquin & Cie  dans Le Courrier du Nord du 28/02/1854 . En Octobre 1854 , Joseph Dusart-Cuvelier prend la place de Florent Berquin . La brasserie apparaît alors sous  le nom de Brasserie Amandinoise , Blondeau , Dusart & Cie dans Le Courrier du Nord du 14/10/1854 . En Octobre 1856 , Charles Blondeau devient le seul gérant , la brasserie prend alors le nom de Brasserie Amandinoise , Blondeau & Cie . En Février 1857 , Odon Desmont (1826-   ) remplace Charles Blondeau . La brasserie prend alors le nom de Brasserie Amandinoise , Odon Desmont & Cie . Fin Février 1859 , suite à sa démission , Odon Desmont est remplacé par Pierre -Joseph Desmont , la brasserie prend alors sous le nom de Brasserie de L'Union , Pierre-Joseph Desmont . Une semaine plus tard , la société est annoncée dissoute et mise en vente dans Le Courrier du Nord du 11/02/1859 . Elle est achetée par Jean-Baptiste Crudenaire-Dubreucq , qui avait une brasserie dans la rue de Valenciennes auparavant. En 1868, ce dernier est déclaré en faillite et c’est Casimir Bouchart-Sterlin qui se porte acquéreur de l’affaire par adjudication . Fin Juillet1882, c’est son fils René Bouchart-Wibault, qui forme une société en commandite au nom de René Bouchart & Cie, Malterie à Saint-Amand, pour 10 ans, avec un capital de 400 000 fr . En 1888, René Bouchart devient seul propriétaire de la malterie qu'il détenait avec son père .

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